Il faut savoir aussi que si vous vous êtes mis intensément au VTT, c'est en raison d'un
mal étonnant et aigu survenant après seulement quelques kilomètres de course au niveau des malléoles vous forçant rapidement à vous arrêter et ce à partir de la fin de votre adolescence sans que quiconque n'y trouve d'explication d'autant que, par ailleurs, tout s'est déroulé à merveille durant vos cinq années d'athlétisme de 8 à 13 ans pour ce qui concerne vos chevilles.
Vous êtes en même temps assez éprouvé par le
mal qui affecte vos deux bras. En effet, quelques mois avant la survenue de votre problème de vue, les conséquences d'une étonnante manipulation vertébrale, d'un soi-disant médecin du sport auquel votre père vouait entière confiance, ont été une hernie intra-spongieuse entre les deux omoplates entrainant par la suite un déséquilibre dans vos deux bras qui a eu pour effet principal un pincement aux deux nerfs cubitaux. Hum, 19 ans... plutôt jeune pour se trimballer la
maladie de l'écrivain non ? Merveilleux cadeau quand on démarre à peine ses études...
De plus, vous vous trainez un
fort pincement à l'arrière gauche du crâne, depuis près de 2 ans, en faisant de l'exercice physique très intense, mais sans savoir d'où cela peut bien venir. Les cachets d'aspirine ne calment pas la douleur et vous ne préférez pas, pour le moment, réaliser d'examen là-dessus par peur d'en connaître l'origine, le mot AVC revenant le plus souvent dans vos recherches.
Je vous fais grâce des soucis de santé, légers mais néanmoins nombreux, que je me trimballe pour certains depuis ma plus tendre enfance, qui laisseraient à penser que nous vivrions déjà dans « Le meilleur des mondes », livre d'anticipation d'Aldous Huxley.
Cela fait tout juste plus d'un an que votre
père est décédé (Lopez Fidel), le 20/06/2006 (2006-2006...) dans sa 51è année. Coup du sort vous me direz (décidément celui-là !...), quand on est « addict » au Pastis. Mais
le but de ce site est en partie de vous prouver que ce genre de coïncidence ne doit rien, dans bon nombre de cas, au hasard, tout comme la plupart des malchances, soucis de santé compris, que vous lirez dans cette copieuse, mais non moins très condensée, introduction. Dans la foulée
décède son ancien patron et Maire de la ville de Pierrefeu dans le Var (le 08/08...), André Blanc, qui vous avait vraiment à la bonne à en croire par exemple la
première appréciation de votre vie à un stage de fin d'année d'études et qui, en tant que maire d'une ville et directeur d'une maison de retraite, pouvait vous ouvrir assez facilement les portes du monde professionnel.
L'année suivante
décède la seule et unique personne qui aurait pu vous expliquer pour quelle raison la maison familiale n'a pas été finie, comporte de nombreuses malfaçons et voit son jardin bien réduit, c'est-à-dire le maçon (Jean Pierre Einaudi).
De plus, vous avez
perdu le dernier grand-père qu'il vous restait, trois ans avant votre père, le
chien de la famille deux ans avant (10 ans avec vous), le
chat de la famille quelques mois avant (15 ans à vos côtés). Cela peut paraître dérisoire pour certains, mais c'est l'accumulation de ces pseudo fatalités qu'il faut prendre en compte, tout comme dans toute mon histoire étalée dans ce document, car elle est bel et bien une somme de détails, de coïncidences rarement heureuses, mais puissance mille.
Cela fait plus de trois ans que
l'amour est allé voir ailleurs si vous y étiez et vous n'avez pas de réelle petite amie depuis près d'un an.
Aussi, l'héritage de votre père étant composé de
nombreux crédits contractés auprès de requins profitant de la faiblesse d'autrui en longue maladie, plusieurs dizaines de milliers d'euros au total, vous êtes littéralement
harcelé de coups de téléphone d'huissiers de tous départements, de sociétés de recouvrement de dettes diverses, de
courriers quotidiens vous rappelant que, n'honorant pas vos échéances, vos
dettes grossissent un peu plus chaque mois, vous mettant en
demeure de payer, sous peine de vous retrouver
assigné au tribunal avec le risque de voir la note finale s'étoffer de manière exponentielle etc. j'en passe et des meilleures (Les deux premières minutes de
cette vidéo éclaireront les profanes en la matière). Tout cela alors que vous n'avez que 23-24 ans et une expérience très limitée de la vie, que vous n'avez
aucun adulte expérimenté dans votre entourage à qui vous fier et que vous êtes responsable du patrimoine de six personnes, comprenant deux maisons, un terrain, des liquidités mais le tout livré avec un
bon paquet de dettes,
dont une non financière et discrète qui est la raison de la création de ce document ainsi que de tout ce qui est en lien avec (blog, emonsite, page Facebook, comptes Youtube et Dailymotion etc.). Vous n'êtes alors, à ce moment-là, pas du tout certain de pouvoir faire face à tout ce que vous devez et, par voie de conséquence, de pouvoir garder la maison familiale.
La seule chose qui semble alors vous rester à cet instant est une épargne de quelques milliers d'euros durement gagnée grâce aux emplois exercés tous les étés depuis vos 17 ans et durant vos cinq dernières années estudiantines, les deux premières ayant été des plus pauvres.
Au début de l'année de votre second passage du CRPE (2007), l'
intensification de la douleur à l'arrière du crâne vous avait mis en tête de profiter un maximum de votre été, vous servant de la petite cagnotte afin de profiter d'une vie qui ne semblait pas très avenante avec vous, et cela que vous réussissiez votre concours ou non. Avec l'accident de vélo cela sera resté un rêve.
Malgré tout cela vous êtes naturellement une personne des plus irréprochables, sans pour autant vous en vanter :
Vous n'avez jamais touché une drogue quelle qu'elle soit.
Vous n'avez aucune idée de la sensation que procure l'entrée de la fumée de cigarette dans vos poumons.
Vous ne savez pas ce que cela fait de finir en garde à vue.
Votre casier judiciaire a toujours été vierge.
Vous avez toujours eu une carte d'identité, carte vitale et un passeport en cours de validité.
Vous payez sans retard vos charges sociales, vos impôts, votre mutuelle, votre abonnement mobile, internet etc.
Vous n'avez jamais participé à une bagarre de toute votre vie.
Vous n'avez jamais arnaqué qui que ce soit.
Vous n'avez jamais raté une seule élection et vous avez même demandé une dérogation afin de pouvoir participer à une élection à vos dix-sept ans et demi.
Vous avez travaillé tous les étés depuis vos 17 ans durant vos études.
Plutôt bon élève, vous n'avez jamais redoublé une seule année et avez fini toutes vos années et diplômes avec mention.
En huit ans de conduite vous n'avez eu qu'une seule et unique amande pour excès de vitesse (mais des précisions sur mon site vous montreront qu'elle n'est certainement pas hasardeuse).
Vous ne devez pas d'argent à qui que ce soit, vous n'avez jamais joué un seul centime aux cartes ou autres jeux d'argent (hormis les jeux à gratter).
Votre banque n'a jamais eu à vous facturer le moindre agio et le montant de votre découvert autorisé vous est inconnu.
Vous n'avez jamais trompé une femme de votre vie.
Vous croyez ce que vous entendez à la télé/radio et lisez dans les journaux.
Vous n'avez jamais remarqué les chemtrails.
Vous pensez que la franc-maconnerie est une association altruiste de personnes du bâtiment, un peu comme les compagnons dans certains métiers de l'artisanat.
Les mots de conspiration et complot ne font pas partie de votre vocabulaire.
Pour vous, Ben Laden est le seul et unique commanditaire des attentats du 11 septembre, Coluche est mort parce qu'il roulait trop vite, Kennedy a été assassiné par un fou, les africains meurent de faim à cause de la sécheresse et de la guerre et parce qu'il n'y a pas assez de nourriture pour tout le monde sur terre, Tupac s'est fait tuer par la côte des États-Unis dont il ne fait pas partie (que ce soit la « west » ou la « east »), l'Homme a bel et bien posé le pied sur la Lune, Dieudonné est antisémite et les illuminatis sont un groupuscule devenu indépendant en quittant le secte de l'ordre du temple solaire.
Vous pourriez rajouter bien d'autres éléments mais c'est déjà amplement suffisant.
Toutefois, vous n'en restez pas moins humain. Et, en ces temps de « scoumoune » extraordinaire des plus exhaustive sur la plupart les domaines qui composent votre vie, alors que vous projetez, au vu de la situation, de faire des recherches sur ce qu'est réellement le hasard, vous êtes au bord de craquer. Seul dans votre lit, vous en arrivez à prier le ciel pour que tout s'arrête une bonne fois pour toutes, que si vous êtes une souris de laboratoire il faut que cela s'arrête, que cela ne sert à rien de rester si tous les efforts que vous daignez faire pour vivre heureux de manière respectable en harmonie avec vos prochains sont, par tous temps, vains.
C'est là qu'un vendredi
6 juillet 2007 vous trébuchez, vous vous laissez aller à l'occasion qui se présente à vous, alors que vous vous dites que vous ne risquez plus rien, et qui est surement l'étincelle à l'origine de l'incendie ravageant ce qui restait de votre vie, causé par les mêmes personnes vous ayant conduit à cette situation chaotique. Tout le monde vous dira que ce n'est rien d'exceptionnel, que ça arrive toutes les minutes aux quatre coins du monde, que cela ne peut être à l'origine d'un tel ouragan, que cela n'a rien à voir. C'est peut-être vrai, mais vu d'ici, cela semble la seule et unique raison. Cependant, et c'est ce que votre entourage pressentait mais pas vous, même si cela pouvait en être l'élément déclencheur, cet évènement ne pouvait pas à lui seul justifier toute cette haine. Et c'est ce que vous avez fini par découvrir presque quatre ans après le début de votre persécution, en mai 2011, grâce notamment à la lecture des «
signes » dans votre passé familial et personnel permettant de séparer avec quasi-certitude le « faux hasard » du vrai.
Ce vendredi-là après-midi, alors que vous venez à peine d'apprendre les résultats négatifs de votre second essai au CRPE mais sans réelle surprise, vous décidez de faire une petite randonnée comme à l'accoutumée afin d'atteindre le sommet d'une colline que vous affectionnez. La balade se passe sans encombre, mais au retour, alors que vous allez pour rejoindre votre véhicule, vous apercevez une petite camionnette blanche dans laquelle vous entrevoyez une jeune femme. Vous ne vous êtes jamais retrouvé dans une telle situation, vous vous dites alors qu'il ne faut pas « mourir con », que de toute façon à ce moment précis il ne peut rien vous arriver de pire, alors allons-y et on verra bien. Le fameux « c'est combien ? » tant entendu à la télévision donnait aussi envie de le vivre au moins une fois dans sa vie, ingénument dans votre cas. L'envie de vous retrouver dans une situation comme celle-ci n'a jamais été dans vos priorités, n'a jamais été une envie ni même un besoin à assouvir mais la curiosité et le fait de vouloir réaliser des actes que vous n'auriez jamais réalisés en temps normal sont toujours plus forts dans les moments les plus durs de votre vie. L'occasion faisant le larron, vous vous mettez à son niveau, comme dans les films ou les reportages, demandez la chose la plus simple et vous voilà parti. Tout se passe normalement, vous discutez deux-trois minutes et vous repartez.
Puis, aucune autre « sortie des chemins battus » ne sera à déplorer sur les deux mois qui suivent durant lesquels vous passerez votre temps simplement, avec des amis, à la plage, à la montagne, chez vous à régler les affaires familiales et successorales. L'été se passe donc tant bien que mal avec les blessures que vous a laissé la chute à vélo et celles, mentales, liées à toutes ces épreuves.
C'est alors que fin août (toujours 2007), vous recevez, alors que vous êtes en train de vendre sur Internet des objets qu'il vous reste de la succession de votre père afin d'épurer les dettes, un mail étrange d'une personne
ayant comme pseudonyme le nom d'un ami d'enfance mort par balle dans la tuerie du village voisin, Cuers, une dizaine d'années plus tôt : « Bonjour, je suis très intéressé par vos films donc rappelez-moi à ce numéro 06 xx xx xx xx afin de trouver un accord ». Si l'on souhaitait me rencontrer ce n'était évidemment pas la meilleure façon d'y parvenir. Ceci pourrait constituer un pur hasard, bien-sûr, mais en imaginant que ça n'en est pas cela dénote déjà la grande étrangeté de la situation... Par ailleurs, ce mail est curieux puisque vous avez l'habitude d'être prévenu par vos sites de vous rendre dans votre messagerie car les clients ne peuvent pas voir votre adresse mail. Néanmoins, vous répondez cordialement que vous en vendez de tous types en DVD et VHS et qu'il faudrait donc préciser la demande. Voici alors le second mail que vous découvrez, trois jours après : « Je ne sais pas et je n'ai plus mes références mais appelez-moi quand-même à ce numéro afin de trouver un accord ». Cet email-là confirme alors l'étrangeté de la situation et de la personne souhaitant entrer en contact avec vous. Vous décidez d'en parler à un ami proche, qui est policier, afin de savoir ce qu'il en pense et ce que vous devez faire si vous aviez affaire à un malfrat cherchant à profiter de votre famille ou vous faire du mal. Durant cette conversation, dans le jardin d'un autre ami chez lequel vous étiez, vous entendez un bruit dans la haie comme si un animal en sortait mais vous êtes alors persuadé que cela ressemblait plus à une personne qui avait écarté des branchages afin de voir à travers. Si cela se confirmait cela signifierait que vous seriez suivi et épié depuis un moment déjà. Et c'est ce que vous pensez dur comme fer. Dans les jours qui ont suivi vous avez commencé à vous rendre compte que des personnes semblaient vous observer et ce jusqu'au jour où, plus clairement, un homme dans son véhicule vous a fixé du regard de manière belliqueuse alors que vous rejoignez votre véhicule. Vous partez vers un autre magasin, l'homme démarre en même temps et vous accompagnera jusqu'à rond-point où un autre véhicule prendra le relais. Alors que, après vous être garé, vous attendez pour traverser la route, un autre jeune homme vous fait le signe du flingue avec la main. Voilà qui est plus clair ! Ça refroidit quelque peu surtout quand c'est la première fois que vous vivez ce genre de choses. Cependant, vous ne devez rien à personne, vous êtes pratiquement des plus irréprochables, ceci semblant déconnecté de tout acte le justifiant vous continuez votre route tête haute. De nombreux « petits actes » dans ce genre seront à déplorer jusqu'au triptyque machiavélique des 24-25-26 septembre 2007 au cours duquel vous avez eu la merveilleuse visite en aller-retour devant chez vous d'un PT Cruser entièrement noir avec toutes les vitres teintées (le 24), puis un appel d'un certain huissier (de la SCP Gagneuil à Marseille, tant pis pour la dénonciation mais c'est la stricte vérité, le 25) dénommé monsieur cruel (!) se renseignant sur votre succession et enfin du
passage de deux hommes en costard et bérets chez vous (le 26).
Au moment où ces deux hommes passent, alors que vous supposez fortement que la raison de leur venue est de vous soutirer de l'argent, notamment au regard de la discussion avec monsieur cruel, vous n'avez rien, ou presque. Une bonne partie de vos amis sont partis pour raison professionnelle, pas de femme, ni d'enfant, ni d'emploi, ni d'études en vue, une demande de RMI à faire... à part de l'argent longuement mis de côté pendant vos études, je l'ai déjà dit. A l'image du morceau de musique d'Ice Cube, Your money or your life, si votre argent est tout ce qu'il vous reste, toute votre vie, comment réagissez-vous à la vue de personnes cherchant visiblement à vous voler le résultat de la sueur de votre front ? Par ailleurs, la référence cinématographique, que vous avez en tête à ce moment-là, de la fameuse scène de la
descente à l'appartement dans Pulp Fiction, n'était évidemment la plus à même de vous faire accepter sereinement la chose.
Petite parenthèse sur un élément absolument crucial dans ce passage d'été 2007 : le souci extraordinaire que j'avais aux yeux, sortant de nulle part, sur lequel tous les ophtalmos consultés se sont cassé les dents, qui a orienté toutes mes études et ma vie professionnelle, qui m'a fait refusé des emplois, aller à l'IUFM alors que ce n'était pas du tout dans mes objectifs, qui m'a fait souffrir sur la route de jour comme de nuit (soleil et phares), devant tout type d'écran chez moi ou ailleurs (magasins, chez les amis etc.), que je me trainais depuis presque 6 ans a miraculeusement été en partie solutionné deux mois avant le passage des deux hommes chez moi et un mois après ma bévue. Ne m'aurait-on pas alors comme "bridé" afin que je devienne pas quelqu'un d'important en France avant d'être dans la poche du pouvoir ?...
A partir du refus de les faire entrer, tout s'emballe. Vous passez la journée suivante, mardi 27, chez vous à vous occuper des affaires familiales et à réfléchir à votre avenir avec toutes ces émotions négatives. C'est alors que vous décidez de partir, de changer d'air, afin d'essayer de vous lancer dans la vie professionnelle en bougeant, vous éloignant des soucis de ces derniers temps. Votre famille en région Midi-Pyrénées semblait la plus à même de vous recevoir le temps de vous lancer, que vous espérez bien-sûr le plus court possible. Le jeudi vous sortez afin de réaliser quelques achats et formalités avant le départ prévu pour le dimanche. A partir de ce jour-là, vous allez voir ad vitam aeternam, à chaque endroit où vous vous rendrez, une ou plusieurs personnes « bienveillantes » pour vous accueillir, vous épier, vous suivre. Vous arrivez au premier magasin avec un homme, doté d'un kit main-libre, qui se gare pile en face très rapidement après vous et qui jette un regard sur vous. Vous entrez dans le magasin, il y entre aussi. Vous le croisez un rayon sur deux et au moment de passer en caisse vous le voyez ressortir par la sortie sans achats en jetant un œil sur vous. Toute la journée et celles de vendredi et samedi seront sur ce ton-là, que ce soit une personne aux lunettes noires garée juste à côté de votre voiture qui démarre très doucement après votre arrivée, un groupe de personnes déjeunant dans l'herbe arrêtant de bouger et parler quand vous arrivez et vous regardant, de nombreux véhicules circulant sur votre petit chemin dont vous connaissez presque par cœur les aller et venus tellement votre patelin ne compte que peu d'âmes, de nombreuses voitures inconnues au bataillon passant très vite devant chez vous... le dimanche 30 septembre arrive enfin, vous n'avez alors qu'une seule et unique envie c'est de partir le plus loin possible en priant pour que les « gremlins » restent près de leurs nids. Tout au long de votre voyage de quelques 500km vous croisez les personnes les plus improbables que ce soit à tous les carrefours ou sur les aires d'autoroute. Vous arrivez néanmoins sans encombre.
Ce soir-là, vous vous couchez alors en espérant qu'avec le réveil du lendemain tout aura disparu, que le cauchemar restera là où il a sa place, c'est-à-dire uniquement quand vos yeux sont fermés. Cette traque/persécution/manipulation/malédiction/destruction embryonnaire, que ses auteurs appellent l'Enfer et une « professionnelle du sujet » le Gang Stalking, va durer, comme pour tous ceux avant vous, qu'ils aient été puissants ou petits, jusqu'à la fin...
*Certaines majuscules ont été volontairement omises dans ce document car on m'a toujours dit qu'elles se mettent devant les noms propres...*Les chiffres, nombres, dates etc. sont volontairement non écrits en lettres (dans un but de clarté vis-à-vis de ce que j'appelle les « signes » laissés volontairement par les réalisateurs des actes malveillants).*Enfin, j'ai un clavier sans cédille."